Simplement constitué, à l’origine, d’un entourage de grosses pierres permettant le brossage du linge, le lavoir ne possédait pas d’abri avant d’être amélioré en 1952.
Au fil des ans, la dégradation par la rouille des tôles ondulées nécessitait d’envisager sa réfection. Suite à une entrevue en 2004 avec un ingénieur conseil membre de l’association pour la sauvegarde du patrimoine, et en partenariat avec l’association des chantiers de réinsertion, le projet se réalisa.
Placé sur un chemin très fréquenté par les randonneurs, l’attrait touristique a justifié une réalisation en planches de clin sur les trois côtés et en ardoise d’Espagne pour la toiture.
La mise en valeur du bassin de décantation par des plantes aquatiques permet de compléter l’ensemble.